La Place du Musulman en France

                La Place du Musulman dans les villes

Cet article à était écris sur la base de la ville en mutation avec comme problématique, la place des Musulmans dans nos nouvelles villes. Tout d'abord nous parlerons des différents voiles présents dans cette religion, puis nous vairons la place du musulmans en France et enfin nous vairons les prières dans les rues. Je pense que “Vivre entre deux cultures”, ce n’est pas seulement hésiter entre couscous et cassoulet. En effet, ces deux cultures peuvent engendrer des modes de vie différents, parfois antagonistes. Pour en distinguer le positif, il convient de les accueillir chacune en toute sincérité, sans chercher à dicter une vérité toute faite, mais d’abord à se comprendre.

               Les voiles Islamique sont pour moi un problème du moment ou le visage de la femme est trop caché. En effet, d'un point de vue sécuritaire, rencontrer des gens avec le visage voilé dans nos villes apportent une forme d'insécurité ainsi qu'une forme de sectarisme entre les personnes voilées. Engendrant une sorte de replie sur eux même ou la communication avec autrui est impossible.

Les Musulmans en France

        Les musulmans de France restent attachés à leur religion. Une forte croyance qui ne les empêche pas d’être ouverts aux autres, d’après l'Institut national d'études démographiques , qui vient de publier une nouvelle étude sur la religiosité des immigrés et de leurs enfants.

          De nouvelles information sur le nombre de fidèles à l'islam y sont donné. Le premier point est que l’islam représente la première religion des immigrés en France. Il se place « loin devant le catholicisme ». Ce sont ainsi 43 % des immigrés qui se sont déclarés musulmans contre respectivement 26 et 27 % catholiques. Le nombre de musulmans dérange ceux qui crient à l’islamisation. Dans sa globalité,, l’étude montre que les immigrés et leurs descendants - « plus des trois-quarts » - sont beaucoup plus nombreux à suivre une religion que la population française. Ainsi, 19 % seulement des immigrés se déclarent sans religion contre 49 % de la population majoritaire. 

          Ce fort, endoctrinement pour la religion Islamique serait le résulta de plusieurs facteurs. Le premier serait l'engouement de la jeunesse d'appartenir à un groupe sectaire, car pour pratiquer la religion Islamique il faut savoir parler Arabe, cela créerait chez l'individu le sentiment d'être unique et que cette religion est faite pour lui. De plus, le deuxième fait qui pourrait rendre cette religion plus avenante aux yeux de ces individus est sa sur médiatisation.

           Par ailleurs, les musulmans se démarquent par une religiosité encore plus forte comparée à la majorité des autres groupes religieux. Alors que 31 % des personnes élevées dans une famille dont l’un des parents est catholique rompent avec la religion, seulement 13 % et 12 % de ceux élevées respectivement par des parents chrétiens orthodoxes ou musulmans abandonnent leur religion. Près de la moitié des musulmans (49 %) déclarent avoir une « forte religiosité ». Ils sont 43 % chez les juifs mais plus que 9 % chez les catholiques.

Les prières dans les rues

             La prière des Islamistes dans les rue est un sujet qui fut polémique en France et qui est dorénavant interdit. Mais pour des raisons diverse quelques centaines de fidèles ont tout de même célébré leur culte sur les trottoirs ou la chaussée le vendredi 16 septembre 2011, A Gennevilliers les fidèles s'étaient réunis à l'appel d'une association qui s'oppose à la destruction prévue de leur ancienne mosquée située à quelques mètres, et le rassemblement avait fait l'objet d'une déclaration officielle à la préfecture.

              Néanmoins, certaine pratique de ces prières dans les rues ne peuvent être, a mon sens, justifié. A l'exemple du 22 Avril 2011, ou des musulmans ont prié au centre ville de Rome devant l’Autel à la Patrie alors qu’au même moment l’immense mosquée de Rome est pratiquement vide. Le but de ces prières osé, étaient de demander à l’administration municipale de payer les factures d’électricité, d’eau et de gaz de leurs lieux de prière. Pour ma part, l'État ne devrait pas intervenir dans la vie économique des religions qui sont présente sur le territoire, et quelque soit la religion.

              Il est indispensable que les membres des diverses ”cultures” présente en France soient capables de maîtriser leurs actes irréfléchis et, en ayant un réel désir de partage, échangent dans une réelle convivialité. Cela ne doit pas nous empêcher de nous demander si telles questions sont pertinentes ou non. Hors de toute polémique, essayer de donner quelques éléments de réflexion sur des questions qui font polémique.

AOUDJIDJ Alexandre